Qualité et diversification des protéines

La consommation excessive de viande a des implications directes sur la santé, notamment les maladies cardiovasculaires, et indirectement sur les émissions de gaz à effet de serre, contribuant ainsi au dérèglement climatique. Pour répondre à ces enjeux, il est donc important de manger un peu moins de protéines animales, mais également de meilleure qualité, tout en respectant le bien-être animal !

Focus : alternatives

Encourager la consommation de légumineuses (pois, lentilles, etc.) et de céréales dans les assiettes. Les légumineuses sont non seulement bonnes pour la santé (recommandées par le PPNS), mais aussi pour le climat.

Les critères du référentiel

Dès le niveau 1, il est requis de présenter un plan pluriannuel de diversification des protéines (incluant des alternatives à base de protéines végétales), d’assurer la présence d’un menu végétarien et l’intégration de légumes secs (de préférence biologiques) au menu au moins une fois par semaine. il est aussi requis de privilégier les viandes biologiques et de limiter la consommation de poissons conformément aux recommandations nutritionnelles en vigueur.

Le saviez-vous ? La formation du personnel sur l’intérêt de la végétalisation des assiettes est la clé pour mettre en place les repas végétariens! En effet, une équipe de cuisine convaincue pourra bien expliquer la démarche aux convives. 1 kg de viande émet 5 à 30 fois plus de CO2 qu’un kg de céréales… Source : ADEME


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