Du bio local dans les cuisines des crèches c’est possible !
Quand la loi EGALIM vise les 20% de bio en restauration collective en 2022, d’autres visent bien plus haut et ce dès maintenant. C’est le cas des crèches Eponyme qui défendent pas moins de 85,67% d’achats bio en 2020 !
Mais bien plus que d’acheter en bio pour le bienêtre des enfants et de notre planète, cette année, l’entreprise a mis un point d’honneur à acheter de plus en plus en local. L’audit mené par le label Ecocert « En Cuisine » a permis de révéler que près de 30% des produits achetés étaient bio et locaux (29,94% pour être précis !), vs 17% en 2019. Un exploit pour cette petite entreprise qui a dû mener de front en 2020 : qualité du projet «alimentation» et crise économique et sanitaire.
« Notre philosophie veut que nous ne rognions jamais sur la qualité de repas servis aux enfants dans les crèches, et ce contre vents et marées. Cette 3e labellisation est donc une immense satisfaction pour nous et surtout nos équipes qui n’ont rien lâché malgré les obstacles ! », souligne Nastasia L’Heryenat, chargée du projet Ecocert « En Cuisine ». En effet, acheter en local et en bio, cuisiner sur place, proposer des menus innovants qui réduisent la part de viande tout en garantissant les bons apports nutritionnels, cela ne va pas sans un coût ! Mais pour Eponyme, la santé des enfants et de la planète n’a pas de prix !
Des crèches durables labellisées Ecocert « En Cuisine »
La santé et l’épanouissement des enfants sont la priorité d’Éponyme, engagée depuis ses débuts dans une démarche d’alimentation saine et durable. Les repas proposés au sein de ses crèches sont donc issus de produits au maximum bio, locaux et non transformés. Ils sont aussi faits-maison et préparés sur place, dépourvus de produits phytosanitaires de synthèse, OGM ni sucre ajouté. Mais Eponyme n’hésite pas à pousser le bouchon encore plus loin et épouse une démarche globale de développement durable. « Depuis le début de notre aventure, nous agissons pour offrir aux enfants l’environnement le plus sain possible, en faisant notamment la chasse aux perturbateurs endocriniens » explique Jessica Lebris, référente Santé Environnement Ecologie de l’entreprise.